Équipe

Bengi Akbulut

Chercheuse

Bengi Akbulut est professeure adjointe au département de géographie, de planification et d’environnement de l’Université Concordia. Elle a reçu son B.A. de l’Université de Bogazici (2004) et un doctorat de l’Université du Massachusetts à Amherst (2011), tous deux en économie. Ses recherches portent sur l’économie politique et l’économie écologique, en se concentrant sur le développementalisme, les relations État-société, les mouvements sociaux et les alternatives économiques. Ses travaux ont été publiés dans le Cambridge Journal of Economics, Development and Change, le Journal of Peasant Studies, Ecological Economics et Geoforum.

Luc Audebrand

Chercheur

Luc K. Audebrand est professeur de management responsable et d’économie sociale et solidaire à l’Université Laval (Québec, Canada). Il est titulaire de la Chaire de leadership en enseignement sur l’engagement social. Ses recherches portent sur la gestion des paradoxes dans les organisations alternatives et sur les dynamiques collaboratives au sein et autour des méta-organisations alternatives. Plus récemment, il se penche sur les enjeux de gouvernance et d’interopérabilité dans les plateformes coopératives. Luc a publié des articles dans « Organization Studies », « Journal of Business Ethics », « Academy of Management Learning & Education », « M@n@gement » et « Journal of Management Education ». Il est également le directeur scientifique de la Démarche d’engagement social de l’Université Laval, dont l’objectif est de promouvoir la participation des étudiants, des professeurs et des employés dans la communauté. Depuis 2018, il est responsable du MOOC sur le management responsable à l’Université Laval, qui a rejoint à ce jour plus de 21 000 personnes dans 60 pays.

Julie Bérubé

Chercheuse

Julie Bérubé est professeure agrégée au département des sciences administratives de l’Université du Québec en Outaouais (UQO). Elle détient une maîtrise en gestion de projet de l’UQO et un doctorat en administration, spécialisation management d’HEC Montréal. Ses intérêts de recherche portent sur les industries culturelles au sein desquelles elle étudie entre autres les questions relatives à l’équité, la diversité et l’inclusion, les tensions identitaires, les effets de la pandémie de la COVID-19 et les innovations. Elle adopte une posture critique en recherche et s’intéresse notamment au pragmatisme critique français.

Martin Blais

Chercheur

Martin Blais est un professeur de premier cycle qui accumule l’enseignement de cours fondamentaux dans plusieurs disciplines. Il a été longtemps professeur à l’école de Communications sociales de l’Université St-Paul ; il enseigne désormais à l’école de Counseling, psychothérapie et spiritualité de la même université. Ses énergies premières vont à l’encadrement et au mentorat d’étudiants. Bien que son intérêt intellectuel premier concerne la théorie de la communication d’un point de vue interdisciplinaire, il s’intéresse depuis bien longtemps au fonctionnement plutôt dysfonctionnel des organisations.

Marie-Pierre Boucher

Chercheuse

Sociologue critique, Marie-Pierre Boucher est professeure au département de Relations industrielles à l’Université du Québec en Outaouais. Ses travaux portent sur les transformations de l’emploi, les représentations du travail, la division sexuelle du travail, la marchandisation des activités sociales, et les politiques sociales, en particulier sur leur fiscalisation et sur l’aide sociale.

Elle a contribué à l’organisation du colloque « De l’occupation à l’autogestion – récits et héritages de Tricofil », à l’Université du Québec en Outaouais (UQO), le 25 novembre 2022 à Saint-Jérôme et imagine le prochain qui se tiendra en 2025.

Marie-Pierre Boucher mène actuellement des recherches sur la portée démarchandisante et émancipatrice des expériences de travail menées dans les entreprises issues de milieux en lutte en Amérique du Nord.

Elle est membre d’autres groupes de recherche dont le Groupe interuniversitaire et interdisciplinaire de recherche sur l’emploi, la pauvreté et la protection sociale (GIREPS) et le Centre de recherche sur les innovations sociales (CRISES).

Edith Brunette

Artiste, autrice et chercheuse, Edith Brunette s’intéresse aux discours qui font et défont les pouvoirs, ainsi qu’à l’éventail des modes d’engagement politique – en particulier dans le champ de l’art. Cultivant des formes collectives de pratiques, ses projets ont notamment porté sur nos relations au territoire, l’ethos entrepreneuriale et la prise de parole en période de crise sociale. Ses œuvres ont été présentées dans des galeries et centres d’art au Canada et en Europe, et elle intervient régulièrement dans diverses publications au croisement de l’art et du politique. Parmi ses publications récentes, mentionnons le livre Aller à, faire avec, passer pareil (2021), coédité avec François Lemieux. Elle est l’autrice d’une thèse sur les conceptions de la liberté et l’engagement politique des artistes canadien×ne×s (Université d’Ottawa, 2024).

www.edithbrunette.net

Julie Chateauvert

Chercheuse

 Julie Chateauvert est professeure adjointe à l’École d’innovation sociale Élisabeth-Bruyère. Elle a complété une thèse en Études et pratiques des arts à l’UQAM puis un postoctorat au sein de l’équipe d’accueil transferts critiques et dynamique des savoirs l’Université Paris8. Son travail a porté sur la création narrative dans les langues des signes. Elle s’est intéressée à la façon dont les artistes, non seulement résiste à la marginalisation de leurs langues mais propose une perspective sur le monde qui transforment les normes corporelles et repensent les rapports entre majorité et minorités linguistiques et culturelles. Elle s’intéresse également aux méthodologies de recherche-création et ancrées dans la pratique, à l’autogestion et aux relations de pouvoirs dans les organisations. Elle a publié, dans le no 27 de la revue intermédialité «Le tiers synesthète : espace d’accueil pour la création en langue des signes» ainsi que «Création en langue des signes : intermédialité et proxémie» dans  Discours et représentations du handicap, dirigé Soline Vennetier and Céline Roussel. Elle est également chercheuse associée au Programme Handicap et Société à l’EHESS (Paris) et au Labex Art H2H par sa participation au projet Traduire la performance/performer la traduction.

Philippe Dufort

Chercheur

Philippe Dufort détient un doctorat du Département de politique et d’études internationales (POLIS) de l’Université de Cambridge au Royaume-Uni. Il est professeur associé à l’École d’innovation sociale Élisabeth-Bruyère de l’Université Saint-Paul à Ottawa. Il étudie les racines épistémologiques de l’innovation stratégique avec un intérêt particulier pour la traduction des savoirs militaires réflexifs en des formes utiles aux praticien·ne·s des mouvements sociaux. Il est chercheur associé à l’École Supérieure de Guerre de Colombie. Il a été éditeur associé au Cambridge Review of International Affairs (CRIA) de 2009 à 2013 et a été le directeur fondateur de l’École d’innovation sociale Élisabeth-Bruyère en 2015. Outre son expérience en recherche universitaire, il a précédemment travaillé comme journaliste en Amérique latine et analyste contractuel à la Mission canadienne auprès de l’Union européenne à Bruxelles.

 

Mathieu Dufour

Chercheur

Mathieu Dufour est détenteur d’un doctorat en sciences économiques de l’Université du Massachusetts à Amherst. Il est professeur dans le département des sciences sociales de l’Université du Québec en Outaouais. Il s’intéresse aux questions touchant les crises financières, le développement économique, la distribution du revenu et la politique industrielle.

Nadia Duguay

Chercheuse praticienne

Nadia Duguay est co-fondatrice d’Exeko – un organisme utilisant la créativité artistique et intellectuelle au service d’une transformation sociale inclusive et émancipatrice. Membre du Comité exécutif de la Commission canadienne pour l’UNESCO, de l’Observatoire des pratiques de médiations culturelles (OMEC), du Réseau québécois pour l’innovation sociale (RQIS), du CA la Caisse d’économie solidaire Desjardins, elle siège sur divers comités aviseurs tel que le Groupe d’éclaireurs de la fondation Chagnon et la Fondation Rideau Hall. Elle est également Ashoka Fellow. Elle s’intéresse notamment aux pratiques de recherches et développements sociales inclusives, de médiations culturelles et intellectuelles et d’innovations sociales ancrées dans une perspective de justice sociale. Elle est co-auteure de “Entre innovation sociale, pluralité de l’exclusion & transformation culturelle » dans la Social Innovation Review en 2017.

Jonathan Durand Folco

Chercheur

Jonathan Durand Folco est professeur adjoint à l’Ecole d’innovation sociale Elisabeth-Bruyère de l’Université Saint-Paul, à Ottawa. Ses intérêts de recherche portent sur la démocratie participative et délibérative, la politique municipale, les communs, la transition écologique et la décroissance. Il est l’auteur de À nousla ville! Taité de municipalisme publié chez écosociété en 2017.

Sophie Elias-Pinsonnault

Sophie Elias-Pinsonnault est titulaire d’une maîtrise en économie du Master conjoint Economic Policies for the Global Transition (EPOG+) basé à Paris (Sorbonne Université, Paris Cité et UTC) avec une spécialité en économie socio-écologique de l’Université d’économie de Vienne. Elle travaille sur les questions liées à la lutte écologique, au travail et au post-capitalisme.

Jérôme Elissalde

Chercheur praticien

Praticien en transfert de connaissances, en mobilisation et gestion des savoirs puis en apprentissages stratégiques,  Jérôme Elissalde oeuvre depuis plus de 13 ans dans une grande variété  de secteurs (institutionnel, philanthropique, sans but lucratif, municipal, académique et innovation sociale). Il a fondé en 2019 Perspectiv.

Il accompagne désormais les organisations et les collectifs à renforcer leur efficience. Par le biais de formations, d’ateliers collaboratifs, de diagnostics et d’accompagnements, il aborde la circulation et l’utilisation stratégique des connaissances comme de puissants leviers d’ajustements continus.Ses principaux contextes d’interventions sont la gestion du changement, la clarté stratégique, la circulation et le  transfert des connaissances, la mémoire organisationnelle  ainsi que  la gestion des connaissances et des talents.

Jérôme Elissalde détient un master de l’université Paris 7 où il s’est formé  en circulation sociale des savoirs. Il a également étudié à l’Université du Québec à Montréal dans le programme de maîtrise en communication sociale et publique pendant une année d’échange universitaire. Il est membre de plusieurs communautés de pratiques en innovation sociale, en transfert et mobilisation des connaissances.

Il s’intéresse particulièrement à l’apprentissage organisationnel, aux dynamiques de communications et de pouvoir dans les organisations ainsi qu’à la reconnaissance des savoirs tacites dans les projets collectifs.

Joseph El-Khoury

Chercheur

Joseph (Joey) EL-Khoury chercheur-militant avec un doctorat en sciences humaines appliquées de l’Université de Montréal, sa thèse porte sur le rôle des organisations de la société civile et des mouvements sociaux dans les transitions vers des villes carboneutres. Diplômé aussi d’une maîtrise en administration des affaires (MBA) de HEC Montréal où il a notamment suivi une formation en gestion du développement durable, il enseigne la responsabilité sociale des entreprises, le développement durable et l’innovation sociale à HEC Montréal depuis 2014 et il est aussi chargé de projet en entrepreneuriat social au Pôle IDEOS-HEC Montréal où il accompagne des projets et entrepreneurs à travers différents programmes de préincubation, incubation et accélération; lui-même ayant co-fondé deux entreprises sociales en design de permaculture. De plus, il travaille sur des mandats de consultation auprès de municipalités et organisations paramunicipales pour le développement de politique publique en développement durable et stratégies d’impact. Ses intérêts de recherche portent sur la transition socio-écologique en contexte urbain, le municipalisme, l’écologie sociale et l’éco-spiritualité. Il a tout récemment publié un chapitre sur les enjeux environnementaux à Montréal, dans le livre Politique urbaine à Montréal : Guide des citoyen.ne.s aux éditions Black Rose Books. 

Mathilde Forest

Chercheuse practicienne

Artiste et chercheuse, Mathilde Forest s’intéresse aux transformations urbaines et sociales dans leurs dimensions esthétiques et sociologiques. Après avoir complété une maîtrise en science politique en 2010 (M.A, U.Laval), elle a entamé des études en Beaux-Arts (BFA, U.Concordia). La complémentarité de ces approches ont par la suite guidé ses recherches et activités de diffusion vers des phénomènes traitant de transformations sociales, d’initiatives participatives et de démarches citoyennes. 

Au cours des dix dernières années, M. Forest a mené plusieurs projets en recherche sociale pour le compte d’organismes et d’institutions publiques. Bon nombre de ces projets de recherche s’intéressaient aux modes de gestion participatifs, à la transformation/réappropriation citoyenne des espaces publics et à l’analyse des besoins de population marginalisée.  Ses travaux de recherche et sa pratique artistique ont en commun de privilégier une approche collaborative permettant d’amasser des témoignages et des fragments de vie, bien souvent par le biais de recherches d’archives, d’entrevues et les groupes de discussions. En développant des processus hybrides entre la recherche qualitative et la recherche-création, M. Forest a développé une démarche multidisciplinaire qui fait une grande place à l’art numérique, à l’installation et à la photographie. Ses plus récentes œuvres ont été diffusées à Montréal et à Québec ainsi qu’à New-York, Shanghai et Kyoto. www.mathildeforest.ca

Dan Furukawa Marques

Chercheur

Détenteur d’un doctorat en pensée politique de l’Université, Dan Furukawa Marques est professeur adjoint au Département de sociologie de l’Université Laval et titulaire de la Chaire de leadership en enseignement Alban D’Amours en sociologie de la coopération. Il est également professeur affilié au Centre d’études des mouvements sociaux (CEMS) de l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS) de Paris. Ses travaux portent sur la construction de communautés coopératives et les mouvements sociaux, notamment le Mouvement des sans terre au Brésil. Il a notamment enseigné des cours sur la philosophie politique et sociale, ainsi que sur la globalisation, la citoyenneté et le développement, sur le contexte politique et social de l’Amérique latine, de même que sur la société québécoise et ses idéologies. Ses nouveaux projets de recherche réfléchissent l’articulation entre l’économie solidaire et les communs à Montréal, Québec et Barcelone.

François Grisé

Chercheur praticien

Arrivé aux arts par la littérature et le théâtre, François Grisé fait sa vie dans le monde des mots et du théâtre depuis maintenant 25 ans. Comme acteur, auteur, enseignant et directeur artistique de la compagnie Un et un font mille

Depuis près de 20 ans, il est aussi chercheur, pédagogue et formateur en voix, texte, diction et mouvement, pour le cinéma et pour le théâtre, en français et en anglais (Université York, Toronto — MFA Acting — Voice Teaching Diploma — 99). Depuis 10 ans, son intérêt grandissant pour les arts visuels, ses formations prolongées en voix, en éducation somatique et tout dernièrement en art performatif (Canada, France, Angleterre) nourrissent son processus artistique. 

Intéressé par la pluridisciplinarité des arts, François développe plusieurs projets alliant performance, installation, art visuel et théâtre documentaire. À ce jour, ses œuvres questionnent et recadrent la nature temporaire et précaire de l’être vivant. Dans les POESIS, les humains, mis sur la sellette, se trouvent dans un état de vulnérabilité. Elles interrogent notre rapport à nous-mêmes, aux lieux, à l’espace individuel et collectif.

Sa dernière création, Tout inclus, a été présentée à guichet fermé au Théâtre La Licorne en octobre 2019. La pièce, toujours en écriture, fera l’objet de présentations à Québec, à Montréal et en tournée québécoise tout au long de la saison 2021-2022.

Emanuel Guay

Emanuel Guay est chercheur postdoctoral associé au département de géographie de l’Université Concordia et à l’École d’innovation sociale Élisabeth-Bruyère de l’Université Saint-Paul, ainsi que conseiller en recherche et développement pour le Regroupement des organismes du Montréal ethnique pour le logement (ROMEL). Ses travaux portent actuellement sur la recherche partenariale, le modèle de développement québécois et les stratégies pour faciliter les constructions neuves et le maintien des actifs en immobilier social.

Christopher Gunter

Chercheur

Christopher Gunter est titulaire d’un doctorat en administration publique avec une spécialisation en politique publique et en gestion culturelle. Ses travaux portent sur la politique culturelle, les musées et l’activisme, l’identité, l’administration culturelle et la participation publique. Son projet actuel comprend des examens discursifs des musées militants et du leadership social. Chris est également professeur affilié au Réseau de recherche en politiques culturelles, membre du conseil d’administration de la revue Culture et gouvernance locale (CGL), et membre bénévole du Musée de l’histoire ouvrière.

Lorenz Herfurth

Chercheur

Lorenz Herfurth est titulaire d’un doctorat de Lancaster University (UK) en design avec une spécialisation en la relation entre le design collaboratif, la gestion et les études d’organisation. Il est chargé de cours à l’École d’innovation sociale Élisabeth-Bruyère de l’Université Saint Paul, à l’École de design de l’Université de Montréal, à Concordia Continuing Studies (Concordia University) et à l’École d’innovation de l’École des beaux-arts de Glasgow au Royaume-Uni. Lorenz a collaboré avec des praticiennes et des praticiens d’innovation social à la gouvernance et travaillant avec des services publics (incluant les domaines de la santé, de la mobilité, de la criminalité en milieu urbain, etc.) sur les projets de recherche multidisciplinaires qu’ont adoptés des méthodes de co-design et de co-création. Il est membre du comité scientifique de la revue Art, Design and Communication in Higher Education (ADCHE). 

Marc D. Lachapelle

Chercheur

Marc D. Lachapelle est chargé de cours à HEC Montréal et professeur à temps partiel à l’École d’innovation sociale Élizabeth-Bruyère. Il est détenteur d’une M.Sc. en management à HEC Montréal. Il enseigne les cours en sociologie des organisations et de gestion en contexte d’innovation sociale. Ses recherches portent principalement sur la mise en œuvre de projets alternatifs, les processus d’organisation et de prise de décision démocratique et autogérée, ainsi que les tensions et paradoxes organisationnels. De plus, il mène actuellement une recherche sur la pédagogie engagée en gestion de l’innovation sociale.

Aurélie Lanctôt

Aurélie Lanctôt est doctorante en droit à l’Université McGill. Ses recherches portent sur les théories féministes et l’épistémologie du droit, les recoupements entre le droit et littérature, le droit pénal et les mécanismes de justice alternatifs. De 2018 à 2022, elle a également été codirectrice et rédactrice en chef de la revue Liberté et elle est l’autrice d’essais.

Audrey Laurin-Lamothe

Audrey Laurin-Lamothe est professeure agrégée à l’Université York. Son programme de recherche s’appuie sur l’idée que la financiarisation est un moteur de la transformation économique et, plus largement, qu’elle influence profondément les relations entre les ménages, les organisations et l’État. Ses précédentes contributions académiques ont analysé les politiques fiscales basées sur le genre, l’endettement public et la stagnation des salaires au Canada. Elle est l’auteure de Financiarisation et élites économiques au Québec (Presses de l’Université Laval, 2019).

Chantale Mailhot

Chercheuse

Chantale Mailhot est professeure titulaire en gestion à HEC Montréal. Elle s’intéresse aux pratiques de transformation sociale, aux controverses socio-environnementales, aux outils de gestion et à la pédagogie en innovation sociale. Elle a publié dans Journal of Management Studies, Organization studiesJournal of Business Ethics, Leadership, Canadian Journal of Sociology, Journal of Change Management, M@n@gement, Gérer et Comprendre et la Revue Française de Gestion, entre autres.  Au plan de l’enseignement, elle donne des cours de management de l’innovation sociale, d’habiletés de direction des personnes, de prise de décision et de gestion d’enjeux controversés. Elle est membre régulier et directrice-adjointe du CRISES et membre du pôle de recherche en pédagogie à HEC Montréal.  

Krys Maki

Krys Maki (iel) est titulaire d’un doctorat en sociologie. Ses domaines de recherche comprennent les mouvements féministes, l’organisation collective autour de la violence sexiste, la pauvreté et l’inégalité sociale, et les études de surveillance critique. Avant de rejoindre l’École d’innovation sociale de l’Université Saint-Paul, iel a complété un stage postdoctorale du CRSH à l’Institut d’études féministes et de genre de l’Université d’Ottawa sur l’organisation du travail et la création de mouvements au sein des refuges pour femmes. En dehors du milieu universitaire, Krys a travaillé comme Directeur de la recherche et des politiques à Hébergement Femmes Canada, un réseau national sans but lucratif de refuges pour femmes victimes de violence (2017-2022). Ses études militantes sont profondément informées par son travail en tant qu’organisateur et militant de longue date auprès des mouvements syndicaux, anti-pauvreté et féministes.

Alexandre Michaud

Chercheur praticien

Titulaire d’un baccalauréat en innovation sociale, Alexandre Michaud est actuellement candidat à la maîtrise dans ce même domaine. Ses recherches se concentrent sur la gestion des entreprises sociales et l’optimisation de leur impact social. Il a également exploré divers sujets tels que l’autogestion et l’analyse économique des coopératives. Fort de neuf ans d’expérience en économie sociale, il occupe actuellement le poste d’analyste financier dans ce secteur.

Myriam Michaud

Chercheuse

Myriam Michaud est étudiante au doctorat en management à la Faculté des sciences de l’administration de l’Université Laval. Ses intérêts de recherche et d’enseignement portent sur le modèle coopératif, la gouvernance, la démocratie en entreprise, les enjeux de l’éducation en gestion et l’éducation coopérative. Sa thèse porte sur les processus de professionnalisation de la gouvernance des coopératives. Elle est enseignante à temps partiel à l’École d’innovation sociale pour le cours Démarrer une organisation sociale. Engagée dans le milieu coopératif depuis plus de dix ans, elle a notamment contribué au démarrage, à la gestion et à l’administration de différentes coopératives et organismes à but non-lucratif. Elle agit aujourd’hui à titre de conseillère et accompagnatrice bénévole auprès d’entreprises d’économie sociale de la ville de Québec.

Lauren Michelle Levesque

Chercheuse

Lauren Michelle Levesque est titulaire d’un doctorat en théologie / spiritualité et est professeure adjointe à la Providence School of Transformative Leadership and Spirituality de l’Université Saint-Paul. Elle travaille sur la recherche basée sur les arts, l’érudition engagée, la performance musicale, le changement social non-violent et l’espace. Elle est co-coordinatrice du volet Pédagogie engagée du Centre d’innovation et de transformation sociales. En 2016, elle a co-édité le livre intitulé Advancing Nonviolence and Social Transformation: New Perspectives on Nonviolent Theories publié par Equinox.

Anahi Morales Hudon

Chercheuse

Anahi Morales Hudon est professeure adjointe à l’École d’innovation sociale Élisabeth-Bruyère de l’Université Saint-Paul. Titulaire d’un doctorat en sociologie de l’Université McGill, elle se spécialise dans l’étude des mouvements sociaux, l’intersectionnalité, les dynamiques organisationnelles et la transformation des rapports de pouvoir. Elle a fait paraître des articles dans diverses revues dont Canadian Journal of Political Science, Journal of Latin American Studies, Sociologie et Sociétés et Recherches féministes. Elle est coauteure de l’ouvrage intitulé Indigenous Women’s Movements in Latin America : Gender and Ethnicity in Peru, Mexico, and Bolivia (New York, Palgrave Mcmillan, 2017). Elle a aussi codirigé le numéro « Femmes autochtones en mouvement: fragments de décolonisation » dans Recherches féministes (Volume 30, n.1, 2017). 

Philippe Néméh-Nombré

Philippe Néméh-Nombré est professeur adjoint à l’École d’innovation sociale Élisabeth-Bruyère de l’Université Saint-Paul. Avant de rejoindre l’Université Saint-Paul, il était chercheur postdoctoral au département de géographie de l’Université Concordia. Il détient une maitrise en sociologie de l’Université du Québec à Montréal ainsi qu’un doctorat en sociologie de l’Université de Montréal. Ses recherches portent sur les pensées politiques, les cultures, les poétiques et les écologies noires, sur les possibilités de relations entre les perspectives libératrices noires et autochtones ainsi que sur les méthodologies critiques. Il fait également partie du comité d’organisation du black symposium noir.

Émilie Nollet

Chercheuse

Émilie Nollet détient un doctorat en administration des affaires, option management, stratégie et entrepreneuriat, de HEC Montréal. Sa recherche doctorale a principalement porté sur des notions d’études alimentaires (food studies), d’entrepreneuriat et d’inclusion sociale, spécialement dans le contexte de mise en marché d’un service présentant un risque d’embourgeoisement pour les communautés. Elle est cofondatrice d’ÉAU, entreprise en innovation sociale primée pour son modèle d’affaires et pour sa contribution à la recherche en innovation sociale.

Émilie effectue actuellement un postdoctorat à l’Université Saint-Paul traitant de thématiques liées au leadership inclusif et à la théorie des fondements moraux. Elle s’intéresse aux manières de créer un consensus pour la création ou l’implantation de projets à grande échelle.

Muna Osman

Muna Osman is a Mitacs Accelerate Postdoctoral Fellow in the Élisabeth Bruyère School of Social Innovation under the supervision of Dr. Krys Maki. Muna completed her PhD in the School of Psychology at the University of Ottawa and then a postdoctoral position at the same university coordinating a Cochrane systematic review on the benefits of school meals for children and youth across the globe. During and after her doctorate, she was a Senior Research Advisor at an Indigenous-owned research firm, advising on anti-racist, critical, and decolonial methodologies for public and private sector organizations. She is currently a Senior Research Scientist at the Black Entrepreneurship Knowledge Hub in the Sprott School of Business at Carleton University. Across these roles, her research combines the study of transcultural psychology, critical data studies, and systems of oppression. Her work appears in Canadian Psychology, Frontiers in Psychology, International Journal of Mental Health, and Practice Innovations among others.

Julie Paquette

Chercheuse associée

Julie Paquette est titulaire d’un doctorat en science politique de l’Université d’Ottawa, elle a effectué un stage postdoctoral à l’Université de Montréal (2012-2014) au Centre de recherches intermédiales sur les arts, les lettres et les techniques ainsi qu’au Centre canadien d’études allemandes et européennes où elle a interrogé la question du nouveau-fascisme dans la pensée de l’intellectuel, poète, cinéaste Pier Paolo Pasolini (1922-1975). Ses plus récentes recherches portent sur les questions concernant la résurgence de fascismes à l’époque contemporaine ; sur les nouvelles technologies et les questions éthiques ainsi que sur l’intercession entre art, éthique et politique, à partir des théories du scandale et d’une conception de la liberté d’expression comme non-domination. Elle est l’autrice de  « Théâtre et hérésies marxistes : Pasolini doit être ce que le Pasolini n’est pas », dans  Les théâtres de Marx, dirigé par O. Neveux et qui paraîtra en 2019 aux  Presses Universitaires de Rouen. Elle a également publié dans le no 9 du French Journal For Media Research, « De la société disciplinaire à la société algorithmique : considérations éthiques autour de l’enjeu du Big Data ».

Professeure adjointe à l’École d’éthique, de justice sociale et de service public, à l’Université Saint-Paul à Ottawa, elle est co-directrice du Centre de recherche en éthique publique et gouvernance (CRÉPuG) et membre du Conseil d’administration de l’Atelier d’innovation sociale Mauril Bélanger.

Yann Pezzini

Chercheur étudiant

Sylvie Plante

Chercheuse-praticienne

Sylvie Plante est une chercheuse-praticienne en innovation sociale, en développement organisationnel et en leadership.  En tant que docteure en sciences sociales (Royal Roads University), Sylvie étudie la création et l’utilisation du capital social et des pratiques d’intermédiation pour faciliter l’innovation dans les partenariats intersectoriels, ainsi que le bricolage d’identités de chercheurs-praticiens dans les établissements universitaires. Ses écrits ont été récompensés par l’International Leadership Association et le Center for Creative Leadership. Elle contribue à l’École d’innovation sociale Élisabeth Bruyère en tant que professeure à temps partiel, et elle est également entrepreneur et gère un cabinet de consultation au service des secteurs public, privé et à but non lucratif.

Éric Pineault

Chercheur associé

Éric Pineault est professeur au département de sociologie et président du comité de la recherche de l’Institut des sciences de l’environnement de l’UQAM. Économiste et sociologue, ses recherches portent sur la financiarisation du capitalisme avancé et sur les hypothèses de transition vers une économie écologique post-capitaliste.

Eric Puisais

Chercheur

Eric Puisais détient un doctorat en Philosophie Politique de l’Université de Paris-Sorbonne et est entrain de poursuivre un deuxième doctorat en géographie sociale et économique à l’Université de Poitier. Son sujet central de recherche est « Territoires et gouvernementalité ». Il s’agit d’étudier la manière dont un territoire (au sens d’un espace géographique institutionnalisé) construit les modalités de sa propre gouvernementalité, c’est-à-dire la manière dont un pouvoir s’y organise, selon quelles modalités idéologiques, en mettant en œuvres quels types de technique de pouvoir, etc. Outre son expérience en recherche universitaire, il a enseigné pendant plusieurs années la philosophie, l’histoire de la philosophie et la philosophie politique, il a travaillé dans plusieurs collectivités locales, en France, comme directeur de cabinet politique.

Nicolas Royer-Artuso

Nicolas Royer-Artuso est compositeur, musicien (oud, violon, électronique et guitare fretless), linguiste, musicologue, écrivain, professeur de musique, artiste de performance et praticien du Théâtre de l’Opprimé basé à Montréal, Canada. Son travail a été présenté en Arménie, Autriche, Brésil, Canada, Colombie, Angleterre, Finlande, France, Géorgie, Allemagne, Hollande, Italie, Liban, Lituanie, Pologne, Turquie et États-Unis. Il a publié et donné des conférences sur : 1) la phonologie, la morphologie et leur interface ; et sur les langues en contact ; 2) sur la musique de maqam ; 3) sur la performance ; et 4) sur le textsetting. Après des études de musique classique occidentale, de jazz et de composition électro-acoustique, il se consacre très vite à la musique de maqam. Il est également un improvisateur libre compétent et a joué avec de nombreux musiciens. Il a été membre fondateur de nü.kolektif (Istanbul, 2008-2014) en tant que compositeur, co-metteur en scène, musicien et acteur au sein du collectif politique de théâtre/performance d’Istanbul. En 2016, avec Ülfet Sevdi, il cofonde Thought Experiment Productions (Montréal), une compagnie de production multidisciplinaire dédiée à la production de spectacles à contenu politique utilisant la recherche en sciences sociales comme cadre méthodologique.

Joëlle Saey-Volckrick

Chercheuse praticienne

Joëlle Saey-Volckrick est chargée de cours d’économie écologique à l’école d’économie et droit de Berlin (BSEL/HWR) et à l’École d’innovation sociale Élisabeth-Bruyère. Elle est éditrice pour le site internet international Degrowth.info et bâtisseuse de communauté pour NousRire, un groupe d’achat de produits biologiques écoresponsables au Québec. Elle est membre associée de l’institut d’économie politique internationale de Berlin (IPE). Elle a complété un bachelier en sciences politiques et économie à l’Université Libre de Bruxelles (ULB) et l’Université Nationale Autonome du Mexique (UNAM), et une maitrise en économie internationale à l’école d’économie et droit de Berlin (HWR). Sa recherche s’ancre dans les domaines de l’écologie politique, l’économie écologique, la justice environnementale et la décroissance. Son travail vise à tisser des liens entre la recherche académique et les mouvements sociaux.

Mattia Scarpulla

Mattia Scarpulla est auteur et chercheur postdoctoral au CRITS. Parmi ses livres : Au nord de ma mémoire, recueil de narrations poétiques, et le roman Errance (Annika Parance Éditeur, 2020 et 2021). Il a codirigé l’anthologie de nouvelles Épidermes (Tête première, 2021). Il anime des ateliers d’écriture enrichis par des activités physiques et de méditation. Il s’intéresse aux littératures traitant des problématiques identitaires et des représentations corporelles. Il est directeur littéraire pour les éditions Tête Première, et membre du conseil d’administration du Centre québécois du PEN international. 

Martin Samson

Chercheur

Martin Samson détient un baccalauréat en pédagogie de l’Université du Québec en Outaouais et une maîtrise en éthique publique de l’Université Saint-Paul. Doctorant en études de conflits à l’Université Saint-Paul, il rédige présentement sa thèse qui porte sur la problématisation du noyau climat–conflit et du concept de l’Anthropocène. La démarche de l’auteur se nourrit de l’approche réaliste-dialectique de Michel Freitag. Ses travaux de recherche portent entre-autres sur l’épistémologie politique de Michel Freitag, les questions socioscientifiques soulevées par le concept d’Anthropocène, le noyau climat-conflit, l’éco-pouvoir, l’éthique et la normativité, la transformation sociale, l’idéologie managériale, la gestion environnementale et l’émancipation.

Michaël Séguin

Michaël Séguin est professeur adjoint à l’École Providence de leadership transformatif et spiritualité. Il est titulaire d’un doctorat en sociologie de l’Université de Montréal et se spécialise en équité, diversité et inclusion (EDI) en organisations. Sa recherche postdoctorale portait sur les défis auxquels sont confrontés les gestionnaires de confession musulmane, en tant que membres d’une minorité racisée, dans leur progression en carrière au Québec. Sa recherche doctorale s’attardait à la dimension cognitive du colonialisme de peuplement israélien et à la représentation des Palestinien·ne·s qu’elle engendre. Ses recherches actuelles portent sur le leadership inclusif, la formation à la diversité et le rôle des allié·e·s dans le tiers secteur, en particulier dans les organisations communautaires.

Julien Simard

Chercheur

Julien Simard est présentement chercheur postdoctoral à l’école du Travail Social de McGill. Il possède une maîtrise en anthropologie obtenue de l’Université de Montréal et un doctorat en études urbaines, effectué à l’INRS-UCS. Ses travaux se penchent sur la précarité résidentielle en contexte de gentrification, auprès de personnes vieillissantes vivant des situations d’exclusion sociale. Ses travaux ont la particularité d’être situés au confluent du champ des études urbaines critiques et de la gérontologie sociale, en s’intéressant notamment à la précarité résidentielle. Par l’usage de l’ethnographie, Julien Simard cherche à rendre visible les freins majeurs à l’application des politiques de « vieillissement sur place », promues énergiquement par différents paliers de gouvernance. Julien Simard s’intéresse également à la fin de vie et à la mort, notamment en contexte de soins palliatifs. Il enseigne au Certificat de gérontologie de la Faculté d’éducation permanente (FEP) de l’Université de Montréal. Il a rédigé des chapitres de livres dans des ouvrages parus aux PUL, aux PUQ et chez ailleurs dans le monde, notamment « Gentrification and Aging in Montreal, Quebec : Housing Insecurity and Displacement Among Older Tenants », paru dans J. Krase et J. De Sena (dir.), Gentrification Around the World, 37-59. New York : Palgrave Macmillan. Il est également membre étudiant du Centre de recherche et d’expertise en gérontologie sociale (CREGÉS).

Jamel Stambouli

Chercheur

Jamel Stambouli est titulaire d’un doctorat en management -HEC Montréal. Sa recherche doctorale a exploré l’importance des facteurs socioculturels au sein des organisations et elle a traité de l’influence de la spiritualité et des valeurs religieuses sur les entrepreneurs et le management des organisations. Ses intérêts de recherche actuels touchent l’entrepreneuriat immigrant, l’entrepreneuriat social, le développement et le management des organisations d’économie sociale et solidaire. Il a par ailleurs une expérience professionnelle dans l’industrie et a été consultant auprès d’organismes nationaux et internationaux. Il a aussi agi comme accompagnateur au profit de plusieurs entrepreneur.e.s.

Simon Tremblay-Pepin

Chercheur

Simon Tremblay-Pepin est professeur à l’École d’innovation sociale Élisabeth-Bruyère de l’Université Saint-Paul. Ses intérêts de recherches sont la démocratisation de l’économie, la critique des médias et les finances publiques. Il est co-auteur de Du vin et des jeux: le virage commercial de la SAQ et de Loto-Québec publié chez Lux en 2019 et il a dirigé Dépossession: une histoire économique du Québec contemporain, Tome 1: Les ressources publié chez Lux en 2015.

Anouk Verviers

Chercheuse practicienne

Anouk Verviers est une artiste interdisciplinaire qui crée des lieux mobiles qui abritent et stimulent des conversations où les individualités se conjuguent différemment. S’inscrivant dans des communautés en tant qu’artiste, elle développe des projets collaboratifs de longue durée qui lui permettent de pousser sa réflexion sur le rôle de l’artiste et de l’art dans la société. Son travail a été présenté lors d’expositions solos et de groupe au Québec et à l’international. En 2019, elle a réalisé une résidence à Carleton-sur-Mer avec Vaste et Vague et en Suisse avec Dogo Residenz, et a présenté une exposition solo à Regart, centre d’artistes en art actuel.

Amanda Wilson

Chercheuse

Amanda Wilson est titulaire d’un doctorat en sociologie avec une spécialisation en économie politique. Ses domaines de recherche comprennent le mouvement alimentaire et les systèmes alimentaires alternatifs, les coopératives et l’organisation collective, ainsi que les questions liées à la préfiguration et à la mise en œuvre d’une politique de la possibilité. Avant de se joindre à l’école d’innovation de l’Université Saint-Paul, elle a complété une bourse postdoctorale communautaire au Centre de recherche et d’engagement sur les systèmes alimentaires durable de l’Université de Lakehead. En dehors du milieu universitaire, elle a travaillé avec plusieurs organisations non gouvernementales dans les domaines de l’analyse des politiques, de la recherche, de la coordination des réseaux et de l’éducation populaire. Elle est une militante de longue date et une organisatrice communautaire à Ottawa. En 2018, elle a co-édité un numéro spécial de la revue Canadian Food Studies intitulé Building an Integrated National Food Policy for Canada.