Le présent texte s’interroge sur l’espace cognitif à ouvrir afin de rendre possible, au sein de la théorie littéraire et artistique, une réception entière des oeuvres de création en langues des signes. Il propose le développement d’une théorie de l’oeuvre et de la réception comme geste politique nous rendant apte à répondre à l’invitation de Rada Iveković pour parvenir à traduire contre la violence.